Ils parlent de nous !
"Sensibiliser les hommes à la précarité menstruelle, c’est l’objectif d’une nouvelle entreprise née au Pays Basque."
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NRJ Côte Basque
Notre passage sur TikTok"C'est tout nouveau : wœmen ! Une entreprise lancée il y a quelques semaines par 2 anciennes étudiantes de Tech de Co à Bayonne ..."
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Mediabask
L'article en intégralité“On entendait beaucoup parler de féminisme, de précarité menstruelle, etc. dans les médias. Nous trouvions dommage que des problèmes qui nous concernent tous divisent. Nous avons envie que les hommes s’impliquent un peu plus dans ce combat-là. C’est pourquoi nous voulions lier l’intimité des deux genres pour créer une forme de solidarité”
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Radio Biarritz
La vidéo condensée"J'aime bien l'idée que ce soit solidaire, quelque soit la catégorie en fait, et vous parlez de distribuer mais alors du coup comment vous comptez distribuer les protections à toutes les personnes qui le désirent ?" ...
Retrouvez la vidéo en intégralité sur Youtube ! -
France Bleu Pays Basque
L'article en intégralité"Deux cheffes d'entreprise, tout juste diplômées en techniques de commercialisation, lancent leur marque de caleçons baptisée "Woemen". Une marque "solidaire", puisqu'une partie de la recette permet d'acheter des protections périodiques et les redistribuer aux femmes."
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Sud Ouest
Voir l'article« La question de la précarité menstruelle nous préoccupait, raconte Cyrielle Mothes. On voulait lancer une idée qui impliquerait les hommes dans cette cause ». « En tant que filles, on se sent légitime pour parler de ces problèmes, ajoute Enola Fillaudeau, mais sans tenir les hommes à l’écart. Ce qui a débouché sur l’idée de créer Woemen, une marque de caleçons qui leur est destiné. Grâce à cet objet intime, on fait le lien entre les deux genres. »
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Podcast "Manager en scène"
Écouter le podcast"Comment va se passer concrètement la redistribution ?
Concrètement on va aller dans des centres commerciaux. Sur chaque boxer 1€ est récupérer, qu'on va envoyer à la marque Jho. Elles ont des protections périodiques françaises qui sont aussi faites en coton bio comme nos boxers. On va donc récupérer ces protections périodiques et les redistribuer dans les lieux publics comme les centres commerciaux ou les rues..."